Стихи о любви (ко дню Святого Валентина)

C’est aujourd’hui la Saint Valentin

C’est aujourd’hui la St-Valentin
J’offre un cadeau à tous mes copains
Un message d’amour, un mot d’amitié
Mon plus beau sourire, ma bonnne humeur
et ma gaieté, et ma gaieté

Petit Valentin

Petit Valentin
Va de bon matin
Porter des baisers
Aux parents bien-aimés
L’un à maman
Car je l’aime tant
L’autre à papa
Que je n’oublie pas

Ma Valentine

Ma chérie, en ce jour de fête de la Saint Valentin
Mon amour, je voudrais te dire je t’aime
Message romantique pour mon plus beau refrain
Ma déclaration d’amour pour toi en poème

Tu es celle que j’aime de tout mon coeur
Pour toi soeur, j’ai en moi tant de douceur
Une histoire d’amour écrite pour toujours
Te voir est un plaisir de vie chaque jour

Je t’aime bien plus fort que brille le soleil
Tu es un poème qui chaque jour s’éveille
Amour de ma vie tu es une étoile brillante
Tu es la plus belle de toutes les amantes

Ma chérie, en ce jour de fête de la Saint Valentin
Mon amour, je voudrais te dire je t’aime
Message romantique pour mon plus beau refrain
Ma déclaration d’amour pour toi en poème

Hamo

Mon coeur, mon ange, mon amour,
J’aime être à tes alentours
Et quand j’attends ton retour
Le bien-être me savoure…

Comme un arc-en-ciel en coeur
Les couleurs font mon bonheur
Tu es mon bel embaumeur
Avec toutes tes douceurs…

J’aime ton corps et ton âme
Que mon esprit me réclame
Quand tes doux gestes me calment
L’amour en moi s’en exclame…

Je t’aimerai pour toujours
Comme on peut croire en l’amour
J’aime quand tes bras m’entourent
Loin des appels au secours…

Valérie S. (Art et Poemes)

Bonne fête les amours…

Ton sourire est mon soleil..
Ta tendresse est merveille…
Tu es la lumière qui m’illumine,
Une étoile qui me fascine…

Contre toi, je suis libéré(e)…
Dans tes bras, j’aime m’envoler…
Avoir l’impression d’avoir des ailes,
La sensation de toucher le ciel…

Il y a eu des temps magiques,
Des instants romantiques…
Des périodes difficiles…
Des chagrins, des moments fragiles…

Mais voilà un petit bout de chemin,
Que nous avançons main dans la main…
Et pour la Saint Valentin, fête des amoureux,
Ma plume t’écrit ces mots heureux…

Jardinons notre amour avec tendresse…
Pour que notre relation jamais ne cesse…

Valérie S. (Art et Poèmes)

À la très chère, à la très belle
Qui remplit mon coeur de clarté,
À l’ange, À l’idole immortelle,
Salut en l’immortalité!

Elle se répand dans ma vie
Comme un air imprégné de sel,
Et dans mon âme inassouvie
Verse le goût de l’éternel.

Sachet toujours frais qui parfume
L’atmosphère d’un cher réduit,
Encensoir oublié qui fume
En secret à travers la nuit,

Comment, amour incorruptible,
T’exprimer avec vérité?
Grain de musc qui gis, invisible,
Au fond de mon éternité!

À la très bonne, à la très belle
Qui fait ma joie et ma santé,
À l’ange, à l’idole immortelle,
Salut en l’immortalité!

Charles Baudelaire

Je suis perdu, vois-tu,
je suis noyé,
inondé d’amour;
je ne sais plus si je vis,
si je mange,
si je respire,
si je parle;
je sais que je t’aime.

Alfred de Musset

L’hiver, nous irons dans un petit wagon rose
Avec des coussins bleus.
Nous serons bien. Un nid de baisers fous repose
Dans chaque coin moelleux.

Tu fermeras l’œil, pour ne point voir, par la glace,
Grimacer les ombres des soirs,
Ces monstruosités hargneuses, populace
De démons noirs et de loups noirs.

Puis tu te sentiras la joue égratignée…
Un petit baiser, comme une folle araignée,
Te courra par le cou…

Et tu me diras : «Cherche !», en inclinant la tête,
— Et nous prendrons du temps à trouver cette bête
— Qui voyage beaucoup…

Arthur Rimbaud

Va, chanson, à tire-d’aile
Au-devant d’elle, et dis lui
Bien que dans mon cour fidèle
Un rayon joyeux a lui,

Dissipant, lumière sainte,
Les ténèbres de l’amour
Méfiance, doute, crainte,
Et que voici le grand jour !

Longtemps craintive et muette,
Entendez-vous ? la gaîté,
Comme une vive alouette
Dans le ciel clair a chanté.

Va donc, chanson ingénue,
Et que, sans nul regret vain,
Elle soit la bienvenue
Celle qui revient enfin.
Paul Verlaine

Voilà longtemps que je vous aime:
— L’aveu remonte à dix-huit ans! —
Vous êtes rose, je suis blême;
J’ai les hivers, vous les printemps.

Des lilas blancs de cimetière
Près de mes tempes ont fleuri;
J’aurai bientôt la touffe entière
Pour ombrager mon front flétri.

Mon soleil pâli qui décline
Va disparaître à l’horizon,
Et sur la funèbre colline
Je vois ma dernière maison.

Oh! que de votre lèvre il tombe
Sur ma lèvre un tardif baiser,
Pour que je puisse dans ma tombe,
Le coeur tranquille, reposer!
Théophile Gautier

Accours, petit enfant dont j’adore la mère
Qui pour te voir jouer sur ce banc vient s’asseoir,
Pâle, avec les cheveux qu’on rêve à sa Chimère
Et qu’on dirait blondis aux étoiles du soir.
Viens là, petit enfant, donne ta lèvre rose,
Donne tes grands yeux bleus et tes cheveux frisés ;
Je leur ferai porter un fardeau de baisers,
Afin que, retourné près d’Elle à la nuit close,
Quand tes bras sur son cou viendront se refermer,
Elle trouve à ta lèvre et sur ta chevelure
Quelque chose d’ardent ainsi qu’une brûlure !
Quelque chose de doux comme un besoin d’aimer !
Alors elle dira, frissonnante et troublée
Par cet appel d’amour dont son coeur se défend,
Prenant tous mes baisers sur ta tête bouclée :
«Qu’est-ce que je sens donc au front de mon enfant ?»

Guy de Maupassant

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